Damien 44 Mustapha 03
Quand je revins à moi j'étais allongé à plat ventre sur le lit, Mustapha était toujours sur moi et je sentais palpiter son phallus toujours fiché entre mes fesses bouillonnantes.
Voyant que j'avais repris conscience mon amant me dit "Mets-toi à genoux et tends ton cul que je te finisse".
Sans que nos corps se détachent je pris la position demandée.
Je repliai mes jambes sous moi et je reposai sur le lit sur les avant-bras.
Dans cette pose j'avais le cul en l'air et bien ouvert, mon amant posa ses mains sur mes hanches et me dit "C'est bien comme ça".
Mon homme me décula et d'un violent coup de reins il m'enfila de nouveau jusqu'à la garde me faisant gémir puis mon mec recommença à me pilonner l'arrière-train violemment.
Le ventre musclé de mon mec claquait contre mes fesses portées au rouge à me faire mal.
Le désir un instant retombé après le fade que je venais de prendre recommença à monter en moi.
Sous les coups de boutoir redoublés que je recevais je sentais une boule de chaleur naître dans les creux de mes reins et venir exploser vers mon visage par multitude.
J'avais le cul complètement éclaté et la puissante pine me possédait avec violence.
Chaque fois que le pénis roide s'enfonçait totalement en moi on entendait le bruit d'aspiration que faisait mon anus chaque fois qu'il avalait le priape.
Mustapha se ruait littéralement dans mon cul, je me disais que s'il continuait comme ça il allait me déchirer mais c'était si bon que je voulais qu'il continue ainsi indéfiniment.
Sous les brusques assauts je me remis à hurler, j'avais l'impression que dans mon antre ravagé coulait de la lave en fusion et je me remis à rouler des hanches en cadence.
Je ne sais combien de temps mon amant me sodomisa de la sorte, sous les vigoureux coups de bite que je recevais je hurlais sans discontinuer.
Je n'étais plus que jouissance, la pastille dilatée à l'extrême je bramais sous la robuste possession que je subissais.
Le plaisir que je ressentais à me faire ramoner le prose était si grand que j'avais l'impression de n'être plus qu'un cul où je voulais que mon homme entre tout entier.
Je me mis à griffer et à mordre les draps tant le bonheur était fort et je tendais mon postérieur en feu vers la superbe pine qui me forait.
Un véritable brasier me consumait et je savais que seul ce membre distendu pouvait l'éteindre.
Mustapha, les mains crispées dans la chair tendre de mes hanches, me besognait avec des "HANS" de bûcheron, chaque fois qu'il m'enculait à fond il disait "Tiens prends ça, encaisse".
Sous les virils coups de reins je me sentais partir de plus en plus, je prenais un pied phénoménal et j'avais l'impression de devenir fou tant le bien-être était irrésistible.
Je ne vivais plus que pour et par le monstrueux sexe qui me creusait les reins m'ouvrant un peu plus la rondelle chaque fois qu'il plongeait au fond de ma grotte en fusion.
J'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
C'est à cet instant que s'enfonçant au tréfonds de mon intimité Mustapha explosa en râlant.
Un abondant flot de sperme crémeux m'inonda le fondement me déclenchant un spasme foudroyant.
Le corps cambré à l'extrême je tendis mon fessier vers le priape qui continuait de se déverser en moi.
Un hurlement de jouissance s'échappa de ma poitrine et je tombai lourdement sur le théâtre de nos ébats entraînant dans ma chute celui qui me chevauchait.
Je sentis le pénis à demi-flaccide sortir de mon antre et mon amant se relever.
Je restai à plat ventre, jambes écartées, écoutant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.
Quand je rouvris les yeux Mustapha était assis sur une chaise et me regardait, son phallus maculé de sécrétions intimes et anales pendait entre ses cuisses.
Je souris à mon homme et il me dit "Vraiment tu as raison d'être pédé, tu as un cul extraordinaire.
- Merci mais tu sais toi tu as une drôle de bite et se faire baiser par un engin pareil c'est super.
- Peut-être mais je t'assure je suis loin d'être puceau mais jamais je n'ai vu quelqu'un comme toi ni mec ni pute, tu es né pour baiser.
- Merci.
- Non c'est moi qui te remercie de m'avoir donné ton cul.
- Si ça t'a plu je suis content.
- Ce n'est pas ça, il n'y a pas de mots pour décrire ce que j'ai ressenti.
- Moi aussi tu sais j'ai joui comme un fou, ta queue m'a donné un plaisir fabuleux.
- Je le sais je t'ai entendu gueuler pendant que je te baisais, on aurait cru une vraie femme en chaleur.
- Mais tu sais dans un lit quand je suis avec un homme je suis une vraie femelle en chaleur.
- Ca tu peux le dire, tu es vraiment une vraie salope.
- Ca t'a gêné ?
- Pas du tout au contraire, j'aime baiser les bonnes salopes.
- Merci mais tu sais avec ce que tu m'as mis il est difficile de ne pas jouir, j'ai cru à un moment que tu allais me déchirer le cul.
- Mais non je me suis contenté simplement de le casser ton cul.
- Ca tu peux le dire, tu m'as complètement cassé la rondelle.
- Tu n'aurais pas voulu ?
- Oh si tu m'as baisé comme un dieu.
- Alors tu vois et dire qu'au début tu avais peur de ma bite.
- Oui et crois-moi qu'au début j'ai eu drôlement mal, la première fois que tu as essayé de me rentrer ta bite dans le cul j'ai cru que jamais mon trou ne pourrait la prendre.
- Mais tu vois c'est quand même rentré.
- Oui heureusement que tu as été doucement.
- Je ne suis pas fou, après ta pipe je voulais te baiser et pas te démolir le cul.
- Merci.
- Tu sais je savais que tu aurais du mal à accepter ma bite mais je savais aussi qu'après ton cul s'ouvrirait et que je te donnerais du plaisir mais je ne croyais pas que ce serait comme ça.
- Eh si.
- Je l'ai bien vu.
- Bon je vais aller me laver le cul car tu m'as tellement défoncé que ta jute est de train de couler sur les draps.
- AH AH AH !!
- Tu peux rire.
- Est ce que je peux te demander quelque chose.
- Bien sur.
- Est ce que tu acceptes de me laver la bite, j'aimerais quand tu auras fini de t'occuper de ton cul que ce soit toi qui me lave le zob.
- Bien sur, viens avec moi dans la salle de bains.
- D'accord".
Nous allâmes dans la salle de bains, j'ai fait couler de l'eau dans le bidet et j'ai demandé à Mustapha de monter dans la baignoire.
Je me suis assis sur le bidet pour prendre un bain de siège et pendant ce temps j'ai entrepris de rendre au phallus qui m'avait fait tant jouir une propreté toute suédoise.
Une demi-heure plus tard nous sommes ressortis de la pièce, mon homme m'a dit "J'ai quelque chose à te demander.
- Oui ?
- Est ce que je peux rester ce soir.
- Pourquoi ?
- J'ai encore envie de ton superbe cul.
- AH AH AH !! C'est d'accord car moi j'ai encore envie que ta bite me casse le cul.
- Super.
- Tu sais tu peux rester toute la nuit si tu le veux.
- C'est vrai ?
- Mais bien sur tu sais quand mon cul a envie il est très gourmand.
- Eh bien je vais lui donner beaucoup à manger.
- Génial.
- Bon eh bien je crois qu'on peut terminer notre partie de Monopoly.
- Oui après je ferai à manger et ensuite on baisera toute la nuit.
- Dis-moi on peut rester nu.
- Bien sur d'ailleurs maintenant on se connaît bien.
- C'est vrai".
Nous n'avons jamais fini notre jeu car au bout d'un quart d'heure Mustapha se remit à bander et je dus le sucer.
Après ma pipe c'est moi qui étais excité et nous avons baisé, cette fois encore mon homme m'a fait superbement jouir.
Nous avons mangé vers 20 heures et dès le dîner fini nous sommes partis au lit.
Pendant cette nuit Mustapha m'a pris 7 fois dans toutes les positions et dans toutes les pièces de la maison et chaque fois mon mec m'a fait jouir superbement.
Nous sommes endormis rompus de fatigue vers 3 heures du matin, j'étais rempli de sperme de la tête aux pieds et j'avais le fion complètement éclaté.
Le lendemain quand nous nous sommes réveillés nous avons déjeuné et Mustapha est parti en me disant qu'il passerait un de ces jours.
Après le départ de mon amant je me suis occupé de mon anus saccagé.
Il a fallu deux jours pour que mon cul soit de nouveau redevenu normal.
J'ai passé le restant de la semaine calme en me disant que même si j'aimais la baise il fallait quand même faire attention à ne pas me faire casser le cul trop souvent.
Je pris donc la décision dattendre le plus possible, jusquà ce que le désir soit intenable avant de baiser de nouveau.
Je ne voulais plus avoir le cul ouvert en permanence et surtout la douleur de la première pénétration augmentait encore le plaisir que je prenais à me faire enculer.
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